À l’occasion du lancement régional de la Fête de la science en Normandie, le lundi 9 octobre, l’université de Caen Normandie et le Centre sportif de Normandie signent une convention de partenariat engageant mutuellement les deux établissements dans le développement de la recherche et de la formation.
À quelques mois de l’accueil des Jeux olympiques et paralympiques à Paris, le sport est plus que jamais au cœur des priorités de l’université. Cette convention engage les deux structures dans un partenariat gagnant-gagnant : le Centre sportif de Normandie, dans sa compétence en formation et préparation des sportives et sportifs de haut niveau notamment ; l’université, que ce soit par leur accompagnement tout au long de leur parcours de formation, ou par une recherche forte et pluridisciplinaire en sciences et techniques des activités physiques et sportives.
Aujourd’hui, avec la signature de cet accord, l’université de Caen Normandie s’allie avec le Centre sportif de Normandie afin de mettre en place un écosystème « campus » performant au service des athlètes normands au travers d’axes de travail tels que l’accompagnement des athlètes, la formation, la recherche et l’innovation. Nous nous félicitons de cet accord qui pose les bases d’un nouvel élan pour le sport de haut niveau en Normandie et plus globalement pour l’écosystème sportif normand
Lamri Adoui, président de l’université de Caen Normandie, aux côtés de Jean-Manuel Cousin, président du Centre sportif de Normandie
À l’université de Caen Normandie, la recherche pluridisciplinaire en sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) s’intéresse à toutes les thématiques en relation avec le sport et les activités physiques sportives et artistiques (APSA) ainsi qu’avec les sciences et technologies, les sciences humaines et sociales, et les sciences du comportement & du mouvement humain.
Les unités de recherche Vertex et GREYC sont également très impliquées dans des recherches de pointe, avec pour l’une, l’étude des capacités d’adaptation de l’être humain en conditions réelles de vie en environnements contraignants (selon des critères chronobiologiques, sensoriels et émotionnels) et pour l’autre en sciences de données.
